Si j’étais président de la Guinée
La chose la plus facile à faire est de rester discret. Mais il n'y a aucune raison que je le fasse, à moins qu'on me passe sur le corps. ‘’La vie devient si riante et le cœur si disposé à la bonté quand il ne craint plus de s'étouffer’’. C'est honteux, sordide et avilissant de ne pas se rappeler de ses promesse. Si j’étais président de la Guinée, Mon hobby aurais été d’écouter en permanence les jeunes en vue de prendre en compte leurs préoccupations et doléances, comme c’est le cas du projet « nos jeunes ont du talent » visant à libérer la parole des jeunes. Et j’aurais développé l’enseignement numérique avec la mise en œuvre du projet "Un étudiant, Une tablette". Puisse que je ne le suis pas, le mieux serait de les percevoir comme des jeunes à demi conscience qui n'ont pour seul moteur que la confection de leurs plus récents caprices, ne réalisant pas la teneur de leurs propos ni la portée de leurs gestes.